Découvrez le
Talk FUTUR(S)
Un Talk inspirant et collaboratif...
Welcome to the Jungle présente le Talk FUTUR(S). Une présentation des grandes tendances RH 2024 en exclusivité pour votre équipe, dans vos locaux. Un moment riche et interactif autour des grandes thématiques clés des entreprises aujourd’hui : temps de travail, recrutement, innovation, organisation, marque employeur, management, avantages, diversité et inclusion, impact, espaces de travail…
Cette conférence est une occasion unique de prendre du recul sur les grands challenges des entreprises dans les mois à venir et d'identifier des solutions concrètes à mettre en place avec votre équipe pour faire évoluer vos sujets clés !
Au cours de ce talk d'une heure vous allez :
- Profiter d’une analyse approfondie des thématiques clés du moment
- Ecouter l’intervention de plusieurs experts (auteurs, conférenciers, docteurs…)
- Interagir en équipe sur certains questionnements
- Imaginer des solutions pour votre entreprise à partir de cas pratiques et exemples concrets
Dans un FUTUR(S) pas si lointain...
TEMPS DE TRAVAIL
Au bonheur de la semaine de 4 jours
ESPACES DE TRAVAIL
Le bureau, sens dessus dessous
MANAGEMENT
Diviser pour mieux manager
RECRUTEMENT
Les nouveaux recruteurs
ORGANISATION DU TRAVAIL
À la recherche de la synchronicité perdue
DIVERSITÉ & INCLUSION
À la rescousse de la génération « sandwich »
INNOVATION
Travail et intelligence artificielle : les faux ennemis
MARQUE EMPLOYEUR
Générations au travail : et si elles n'existaient pas…
IMPACT
Vers une croissance raisonnable
AVANTAGES
Le juste prix
Nos experts parlent du FUTUR(S)
-
Il y a autant de modèles de semaine de 4 jours que d’entreprises, et on constate que ça marche dans des secteurs d’activité très variés, aussi bien dans des TPE que dans des grands groupes, et dans toutes les régions.
Jérémy Clédat, Cofondateur et CEO de Welcome to the Jungle
-
Et si, plutôt que de s’inquiéter du remplacement de l’homme par la machine, l’IA avait davantage vocation à changer en profondeur ce que signifie le terme “travailler” ?
Jeremy Lamri, CEO de Tomorrow Theory et cofondateur du Lab RH
-
Les recruteurs ont conscience de la nécessité de se former et de s’expertiser, car ils comprennent l’impact social de leur métier. Ils ont un besoin de structuration pour optimiser leur processus.
Joanna Bouy, Coach de recruteurs
-
Le travail asynchrone, c’est redonner le contrôle aux gens sur où ils travaillent, donc leur géographie, et sur leur temps, soit comment ils travaillent et avec qui.
Jean-Charles Samuelian-Werve, Cofondateur et CEO d’Alan
-
Si une entreprise s’auto-limite, elle va impacter son attractivité sur les marchés. Alors, comment peut-on -dans un langage comptable- considérer que c’est un investissement ? Comment comptabiliser le fait qu’une entreprise prépare l’avenir ?
Geneviève Ferone Creuzet, Vice-présidente de The Shift Project et cofondatrice de Prophil
-
Aujourd’hui, on utilise le concept de génération comme un filtre identitaire, une grille de lecture de la société. Petit à petit, les discours sur les générations deviennent omniprésents. C’est une manière de détourner le sujet et de plaquer certaines fictions sur les générations.
Laetitia Vitaud, Auteure et conférencière sur le futur du travail
-
Qu’on les appelle “managers”, “servant leaders” ou “chefs de tribu”, qu’ils aient un rôle hiérarchique, transverse ou “projet”, leur rôle n’a jamais été aussi vital. Et les entreprises qui ont essayé de s’en passer en sont vite revenues.
Luc Bretones, Fondateur et CEO de NextGen
-
C’est une évaluation très délicate : est-ce que je travaille plus que lui ou elle ? Si l’employé considère que l’équité interne est respectée, alors tout va bien. S’il se sent plus favorisé, il peut même s’engager davantage. S’il estime, à l’inverse, qu’il existe une iniquité, celle-ci risque d’être un facteur de démotivation, de conflit, voire de démission.
Chloé Guillot-Soulez, Maître de conférence en sciences de gestion à l’université Jean-Moulin à Lyon
-
Il y a autant de modèles de semaine de 4 jours que d’entreprises, et on constate que ça marche dans des secteurs d’activité très variés, aussi bien dans des TPE que dans des grands groupes, et dans toutes les régions.
Jérémy Clédat, Cofondateur et CEO de Welcome to the Jungle
-
Et si, plutôt que de s’inquiéter du remplacement de l’homme par la machine, l’IA avait davantage vocation à changer en profondeur ce que signifie le terme “travailler” ?
Jeremy Lamri, CEO de Tomorrow Theory et cofondateur du Lab RH
-
Les recruteurs ont conscience de la nécessité de se former et de s’expertiser, car ils comprennent l’impact social de leur métier. Ils ont un besoin de structuration pour optimiser leur processus.
Joanna Bouy, Coach de recruteurs
-
Le travail asynchrone, c’est redonner le contrôle aux gens sur où ils travaillent, donc leur géographie, et sur leur temps, soit comment ils travaillent et avec qui.
Jean-Charles Samuelian-Werve, Cofondateur et CEO d’Alan
-
Si une entreprise s’auto-limite, elle va impacter son attractivité sur les marchés. Alors, comment peut-on -dans un langage comptable- considérer que c’est un investissement ? Comment comptabiliser le fait qu’une entreprise prépare l’avenir ?
Geneviève Ferone Creuzet, Vice-présidente de The Shift Project et cofondatrice de Prophil
-
Aujourd’hui, on utilise le concept de génération comme un filtre identitaire, une grille de lecture de la société. Petit à petit, les discours sur les générations deviennent omniprésents. C’est une manière de détourner le sujet et de plaquer certaines fictions sur les générations.
Laetitia Vitaud, Auteure et conférencière sur le futur du travail
-
Qu’on les appelle “managers”, “servant leaders” ou “chefs de tribu”, qu’ils aient un rôle hiérarchique, transverse ou “projet”, leur rôle n’a jamais été aussi vital. Et les entreprises qui ont essayé de s’en passer en sont vite revenues.
Luc Bretones, Fondateur et CEO de NextGen
-
C’est une évaluation très délicate : est-ce que je travaille plus que lui ou elle ? Si l’employé considère que l’équité interne est respectée, alors tout va bien. S’il se sent plus favorisé, il peut même s’engager davantage. S’il estime, à l’inverse, qu’il existe une iniquité, celle-ci risque d’être un facteur de démotivation, de conflit, voire de démission.
Chloé Guillot-Soulez, Maître de conférence en sciences de gestion à l’université Jean-Moulin à Lyon
Pour toute question concernant notre livre : futurs@wttj.co